Michel Sardou ruiné ? Le chanteur contraint d’abandonner sa passion
Michel Sardou a récemment été forcé d’abandonner l’une de ses grandes passions, développée depuis les années 1970. Actuellement, le chanteur français fait parler de lui avec sa tournée « Je me souviens d’un adieu ». À 76 ans, malgré des problèmes de santé, il reste très actif. Récemment, il s’est confié sur une de ses passions qu’il a dû délaisser.
Michel Sardou contraint d’abandonner sa passion pour des raisons financières
Outre la musique, Sardou avait d’autres passions, notamment pour la Normandie où il possédait un manoir. C’est là qu’il s’est épris des courses de chevaux. Initialement réticent à l’idée d’une propriété normande, il l’avait acquise pour sa femme. Il est devenu éleveur et propriétaire de chevaux, les confiant au haras du Quesnay de la famille Head. « Alec Head était mon ami. J’étais chez moi au Quesnay », a-t-il confié en vendant son manoir.
Une passion pour les chevaux devenue trop coûteuse
La situation a changé quand la famille Head a quitté la Normandie. Sardou s’est retrouvé sans espace pour ses chevaux. Il les a vendus et a cédé son manoir, devenu trop grand. Mais une autre raison l’a poussé à abandonner cette passion.
Sardou avait perdu le goût des courses. « J’ai arrêté les chevaux parce que j’étais très déçu. J’ai fait de l’élevage, mes produits n’ont pas donné ce que j’espérais… Ça coûte une fortune », a-t-il expliqué à Actu.fr.
Le chanteur exprime des regrets
Malgré quelques succès, Sardou n’a pas connu la réussite espérée dans les courses. Il regrette de s’être lancé dans l’élevage. Avant de vendre ses chevaux, il avait prévenu son entraîneur Rouget de son intention d’arrêter si ses derniers yearlings n’étaient pas performants.
💬 « J’adore les chevaux de course particulièrement »
Michel #Sardou nous partage sa passion pour les animaux.#20h30leDimanche @France2tv @LaurentDelahous pic.twitter.com/A5OAhGK8HY— 20h30 Le Dimanche (@20h30ledimanche) September 8, 2019
Le départ de la famille Head a confirmé sa décision d’abandonner les courses hippiques. Aujourd’hui, il ressent de la nostalgie pour cette passion remontant aux années 1970, quand Alain Delon lui avait offert un trotteur. « C’est un peu triste que ce soit terminé », conclut-il.
